Une manière polie d'évoquer sa littérature. Oui.Poupi a écrit :Proust, de la littérature pour dame ?


Modérateurs : hsdcdb, Aragathis
Une manière polie d'évoquer sa littérature. Oui.Poupi a écrit :Proust, de la littérature pour dame ?
A la une, du sang, à la deux, de la chique. A la trois, du mollard.Aragathis a écrit :De Cape et de Crocs, du sang, de la chique et du mollard ?
Bin, à la Une Deux Trois. Dites moi... Les épées, ça ne fait pas du bien quand on en prend 20 cm dans le gras du ventre hein ? Faut en vouloir. Faut épingler le gars en face. Faut vaincre sinon, on meurt. C'est violent. Même quand c'est moucheté dans une salle d'arme. Après, on peut avoir horreur de la violence, ce que je conçois tout à fait. Personnellement, je suis plutôt Engagé Guignol sur ce coup. La dualité de l'homme et tout ça. Born to kill et make love, not war. Soldat Brindavoine et Verdun, on ne passe pas. Mais faut pas venir gloser sur Lope et Armand après. Parce que comme tueurs, excusez moi ! Mais ce ne sont pas des chérubins ! Hein ?Bragelonne a écrit :Ça me plait moyen ces descriptions![]()
Remarquable... Merci infiniment.Captain Boney Boone a écrit :Le Temps retrouvé, vers p. 65.
Oui, ça décoiffe. Voire, ça enrhume.ZybaX a écrit :Mon cerveau. Je suis écervelé...
De poudre. exclusivement de poudre.ZybaX a écrit :Voilà ce qui arrive quand on met en perce un baril.
Je sens qu'il y a des paradoxes spatiobédéthesques (avec un H, ça fait tout de suis mieux) entre les destinées du Captain Boone et de Rackam Le Rouge...Laurent Jerry a écrit :Du moins, il eût été de poudre s'il l'on n'eût point confondu la Sainte-Barbe avec la cambuse. On se contentera donc du rhum de Jamaïque de cent cinquante ans d'âge.
ceci dit, j'ai été très déçu par le Tintin de Spielberg. A mon avis, néanmoins, ce n'est pas une trahison mais une incompréhension. Et peut-être le niveau moyen de l'ado américain (où le film a fait un flop) dont les héros sont Marvel et non pas Hergé. Ou Ayrolles et Masbou.Laurent Jerry a écrit :Pourquoi pas ? Les insultes ornithologiques (“que le grand cric me croque”, “perroquet bavard”) et orageuses (“Tonnerre de Brest”) de François de Hadoque peuvent se marier avec le vocabulaire “osseux” de notre frère de la côte préféré...