Forum de la série BD "De Cape et de Crocs"

Petit pouvoir ?...

Rhô, tu me prêtes des exigences que je ne suis pas sûr d'avoir ! J'aime bien l'idée de pouvoir étendre les sens, de leur donner d'autres dimensions, pourquoi pas la mastication, mais l'intuition est renne : en d'autres termes, si je ne rechigne pas à tenter la compréhension future, celle de l'instan...

Terre de personne, terre de passager. Claquette atone, pied de chaussée. Je te remercie de remettre ma poésie au goût du jour, vil flatteur. Cesse de parler à mon futur ! Je suis là, moi aussi ! C'était surtout là où je bloquais dans ton commentaire, ayant toujours du mal à parler l'opaque... (même ...

Surprenant altercas dont ton joug fait présage. No man's land inaugure pourtant le fol enthousiasme du là, la la la. Qui sait, le no man's land pourrait même être le pays vécu, n'étant pas l'habité ? Qu'as-tu compris, mystérieux trouble-fête ? Et qu'as-tu arrêté de comprendre ? - Outis, j'ai regardé...

Je t'en prie, appelle-moi Andy Kaufman !

C'était mes dernières citations, on ne m'y reprendra plus.

Quel boute-en-train ce général ! Vous la connaissez, celle de Malreaux et De Gaulle aux urinoirs ? Le premier, gêné, engage la conversation : "Belle pièce, mon général..." ; et De Gaulle de répondre : "Regardez devant vous, Malraux !" Sinon, il y a aussi Patrice : "La fièvre...

Ah bon. C'est possible que je me sois trop braqué sur la réécriture de Charlie et n'aie du coup pas assez travaillé l'originalité du truc.

Moyen quoi ? Le poème ? Ou la suggestion du post précédent ?

LA VIE INTÉRIEURE J’ai longtemps habité sous de vastes idées Que des soleils rêveurs teignaient de toutes formes, Où mon cœur étranglé tentant de battre aux normes En était très étrange, et jamais décidé… Les houles en coulant voulaient me dérider : Scellant tous leurs secrets dans l’océan énorme, V...

Cap’ nous offre un manifeste, l'ours le décline par l'urbs. À quand les corpus, l’œuvre d'impact, le recueil ? Devant notre succès passé, il faut réitérer. Tel encore, d’avant puis de toujours. Une formule qui marche, sous une ombre nouvelle, cette fois-ci à l’extérieur des architectures salvatrices...

"Ceux qu'on condamne au supplice affectent quelquefois une constance et un mépris de la mort qui n'est en effet que la crainte de l'envisager. De sorte qu'on peut dire que cette constance et ce mépris sont à leur esprit ce que le bandeau est à leurs yeux." La Rochefoucauld

http://www.printempsdespoetes.com/index ... p&cle=5937

Mon avatar et moi sommes contents.

C'est quoi, se prendre les pieds dans la mort ? Ça s'appelle une métaphore. (Plus tard tu me remercieras.) Plus sérieusement : c'est une métaphore. C'est-à-dire pas un concept. Te répondre consisterait à te décrire précisément des moments de l'expérience, autrement dit des épisodes biographiques, e...

La citation à laquelle je pensais. (En fait c'est bien développement) « Mais, en fait, une fois que la forme bourgeoise bornée a disparu, qu’est-ce que la richesse, sinon l’universalité des besoins, des capacités, des jouissances, des forces productives des individus, universalité engendrée dans l’é...